Lorsque l’on m’a dit que j’allais pouvoir tester la synthèse vocale Alexa via l’Amazon Echo, j’ai eu l’impression que j’allais vivre un second Noël ! C’est donc avec excitation et joie que je me suis jeté sur le colis délivré par le transporteur…
Déballage
Après avoir retiré le carton d’emballage, je découvre celui de la demoiselle : noir, sobre avec juste un petit reflet grâce auquel nous pouvons lire Amazon. Intrigant. Je m’empresse donc de l’ouvrir et là, je découvre un tube noir plutôt imposant ! Je ne m’attendais pas à ce format !
Je l’extrais de son emballage et tout de suite on sent que l’Amazon Echo est un produit rigide, qui inspire la fabrication de bonne facture. Doté d’une esthétique simple, mais travaillée, l’Echo trouve immédiatement sa place sur mon meuble près de la télévision. Alors, oui c’est déconseillé, mais difficile de trouver un endroit bien localisé au centre de ma pièce avec en plus un accès à une prise électrique.
Un petit manuel explique comment le mettre en oeuvre : branchez-le au courant et téléchargez l’application. Le brancher : un jeu d’enfant, télécharger l’application : il faut ruser puisque l’appli Alexa d’Amazon n’est pas disponible sur notre territoire. Mais un petit tour sur Google en tapant « Alexa apk » révèle de nombreux sites où l’on peut se procurer la dernière version de l’application, dans mon cas, pour Android.
Pendant que je transfère cette application sur mon smartphone, j’effectue de petites recherches sur le web et je tombe sur une url qui me propose de configurer mon Alexa en ligne, pourquoi pas !
Installation
Il suffit de suivre les indications puis de cliquer sur « suivant », la bête est en mode appairage (cercle orange qui tourne comme Kitt de K2000, mais de manière circulaire). L’interface m’invite à changer de Wi-Fi et à se connecter à celui généré par l’Echo. Une fois cette manipulation réalisée, on nous invite à sélectionner son réseau Wi-Fi personnel parmi la liste des réseaux Wi-Fi découverts, puis entrer son mot de passe.
Et là, j’attends quelques secondes, une minute… et un message d’erreur s’affiche : « nous ne parvenons pas à nous connecter à votre réseau Wi-Fi », ah bon ?
Je retente l’expérience et maintenant mon Wi-Fi n’apparaît plus… je débranche, rebranche, toujours le même problème. Je décide donc d’aller jeter un oeil aux paramètres Wi-Fi de ma Freebox Revolution et vérifier les informations. A priori, rien de particulier, sachant que tout chez moi fonctionne correctement. Mais par acquit de conscience je passe d’un type de protection WPA2-PSK/AES à un WPA2-PSK classique, je sauvegarde et retente la manipulation et là…ça fonctionne ! On est donc face à un caractère capricieux concernant le cryptage de la clé Wi-Fi, à savoir.
La demoiselle me dit que la configuration s’est bien déroulée (en anglais) avec une profondeur et une qualité inattendue ! (je reviendrais plus tard dessus) Ni une, ni deux, je tente une approche parmi celles fournies en exemple sur une petite brochure avec mon meilleur anglais : « Alexa, what’s the weather like ? »
Découverte
Dès que l’on prononce le terme Alexa, un cercle lumineux se met en marche tout en haut de l’appareil et une couleur différente présente la direction d’où est issue la voix entendue, smart. Pas besoin de faire de pause, après le « Alexa », c’est de l’instantanée ! Dès la fin de ma question, la jeune demoiselle me répond « The weather in Seattle is cloudy… » avec toutes les indications météo nécessaires ! Wahouuu ce n’est…pas chez moi… Je lance donc l’application et après m’être authentifié avec le compte Amazon utilisé lors de la mise en fonctionnement, je peux accéder à certains paramètres dont la géolocalisation. J’indique alors que je réside à Montpellier, France (un choix qu’elle propose automatiquement), mais lorsqu’il s’agit de valider le choix, j’ai un petit message m’indiquant que les lieux de résidence hors US ne sont pas pris en charges. Mince, mais ce n’est pas grave, la météo de chez moi, je peux l’avoir de différente manière, je mets donc New York, j’aime cette ville, bref. Deuxième question simple « What time is it ? » et bien… il est l’heure actuelle de New York ! Logique me direz-vous, mais embêtant pour la suite des évènements si l’on souhaite gérer son calendrier, ses rendez-vous, une heure de réveil. Mais pas de panique, un petit malin a réussi à changer le fuseau horaire de l’Echo, voici comment il a procédé :
Il a tout d’abord analysé les échanges entre l’interface et l’Amazon Echo, puis identifié les informations clés relatives aux changements du fuseau horaire et enfin implanté sa nouvelle valeur, rien que ça !
Afin de pouvoir récupérer et analyser les informations échangées entre l’interface web et Alexa il faut se procurer une extension comme Request Maker pour Chrome et l’installer.
Une fois installé, vous avez une petite enveloppe qui apparaît au niveau de la barre d’adresse à droite du navigateur. Rendez-vous sur http://alexa.amazon.com/#settings et si ça n’est pas déjà fait authentifiez-vous afin d’arriver sur l’interface de l’Amazon Echo.
Maintenant, allez sur votre device en cliquant sur XXXX’s Echo.
Vous arrivez sur cette page et il faut maintenant cliquer sur « Edit » de la catégorie « Device Location »
Changez à présent l’adresse pour une autre adresse de votre choix, mais toujours aux US puis « Save Changes ».
Cliquez alors sur l’enveloppe est recherchez la ligne PUT suivante et cliquez dessus.
Maintenant vous avez les informations qui ont été passé lorsque vous avez appuyé sur « Save Changes ». On va pouvoir tout simplement modifier la valeur de la timeZoneID en remplaçant « null » par » « Europe/Paris » «
Cliquez maintenant sur « Send » en haut à droite pour transmettre la mise à jour. « 200 OK » devrait apparaître pour vous signifier que l’Echo a bien pris en compte les changements et un petit tour ici vous garantira que votre Amazon Echo a bien basculé sur le fuseau horaire de Paris !
Alors, vous avez bien sûr remarqué qu’on pouvait également changer d’autres valeurs, mais jusqu’à présent mes tentatives se sont révélées infructueuses et il y a même des valeurs comme « label » ou encore « postalCode » qui bloque le transfert via PUT.
Après avoir retenté un « What time is it ? » avec une réponse fructueuse, je tente maintenant d’autres questions plus liées à la recherche d’informations : « What’s the capital of France ? » « Who is the president of United States ? » « How many people live in Paris ? » (formulations disponibles ici)
Questions auxquelles Alexa répond très facilement, instantanément et même avec mon accent anglais ! En fait, elle est connectée au contenu Wikipédia et trouve les réponses dans cette base de données. On a les mêmes fonctionnalités qu’un Siri anglo-saxon, beaucoup plus avancé que le nôtre. Je pose des questions plus orientées réflexion qu’informations : « What is 10 divide by 2 ?» Easy « 10 divide by 2 is five ! », on sent l’intégration à Wolfgram Alpha, natif pour les anglo-saxon, toujours pas pour le français. Maintenant, rentrons dans des cas plus concrets : vivant dans un appartement de 37m2, la cuisine n’est pas très éloignée d’Alexa et une phrase type « Add Milk to my shopping list » et très bien interprétée et ajoute automatiquement le produit sur votre shopping list, que vous retrouverez très simplement sur l’application compagnon Alexa. Même fonctionnement pour la to-do list.
Bon d’accord, pour l’instant, rien de fabuleux, c’est un Siri anglo-saxon, mais qui reconnaît parfaitement bien mes ordres, même avec mon accent (j’ai quand même eut des difficultés à rajouter des « steak » à ma shopping list, je devrais me satisfaire de « stick » :)).
Pour pallier à ce problème, il existe une option qui permet à Alexa d’améliorer votre reconnaissance vocale : « Voice Training »
Il suffit de réciter les 25 phrases inscrites à voix haute et de manière naturelle pour permettre à l’Echo de mieux vous comprendre par la suite.
Qualité Audio
Maintenant, abordons la qualité sonore ! Je lance un petit « Alexa, play some musics » et la demoiselle me répond « shuffling music », et qu’est-ce qui se lance ? Get Lucky de Daft Punk ! Et avec un son plutôt très bon ! Alors deux choses me percutent : la qualité du son diffusé et le fait qu’Alexa sache que je suis un très grand fan des Daft Punk !
Pour la première, comme j’avais commencé à l’évoquer au début : nous sommes face à un produit de qualité. Elle fait presque le poids et les proportions de mes Sonos Play 1 et le son s’en rapproche également. Alors ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit : la qualité s’approche et on est surpris par la puissance et la clarté, ça manque en effet de punch au niveau des basses et si on met à font (en utilisant la bague infinie très bien intégrée au produit) on fait saturer le son, mais concrètement, il ne manque pas grand-chose pour aller titiller mes Sonos Play 1 !
Pour la seconde, à savoir lancer les Daft Punk et leur dernier album : il s’agit en fait de la version numérique que j’avais obtenue gratuitement lors de l’achat du Vinyl des Daft Punk sur Amazon ! Oui oui, en me connectant avec mes identifiants lors de l’installation, Alexa est allée chercher ce que j’avais dans mon Amazon Music et que je n’avais JAMAIS utilisé : très agréablement surpris !
Je désire donc uploader de nouvelles musiques pour enrichir mon Amazon Music et la première question sur l’interface web : entrer un numéro de carte bleu… j’abandonne.
J’abandonne non pas parce que cela me dérange de donner mon numéro de CB à Alexa (qui devrait déjà l’avoir par Amazon de surcroît), mais surtout parce qu’il est possible de connecter d’autres services musicaux, notamment Spotify ! Donc oui, c’est génial ! Il suffit, une fois votre compte connecté, de demander à écouter de la musique de manière aléatoire ou tout simplement de demander une musique en particulier, un vrai régale !
Bon, et qu’en ai-t-il de la détection de voix lorsque la musique est allumée ? Et bien si le volume est inférieur à 7/10 alors elle détectera « Alexa » et baissera le son afin de vous entendre et si le volume est supérieur à 7/10, ne vous attendez pas à ce qu’elle vous entende puisque la musique couvrira vos paroles…il faudra soit baisser le son, soit utiliser la télécommande ! Et oui, il y a une télécommande livrée avec !!!
Télécommande
Cette télécommande, très sobre également, inspire elle aussi la robustesse via sa qualité de finition. Il suffit de mettre les piles pour que celle-ci s’appaire automatiquement avec l’Amazon Echo. Et si cela ne se produit pas, il suffira d’aller dans les paramètres de votre Echo pour activer sa détection. Elle est aimantée et après avoir collé son support sur un mur, l’utiliser et la remettre à sa place et un vrai jeu d’enfant ! Mais qu’est-ce qu’elle apporte ? La liberté d’avoir Alexa dans toutes les pièces ! Bon, si votre maison est très grande, cela n’a pas un grand intérêt, mais prenons l’exemple (à tout hasard bien entendu !) où vous vivez dans un apparement de 37m2 et que votre chambre et votre salon sont collés mais que lorsque la porte est fermée, la détection audio ne fonctionne pas. Utiliser la télécommande peut vous permettre de déclencher des actions (à voir dans la suite quel type d’actions) directement d’un autre lieu sans avoir à sortir son smartphone ou lancer une application ! Est-ce que ça fait Geek ? Totalement ! Est-ce que je l’utilise tous les jours ? Non, car dans ma chambre, les actions que je peux lancer se font via des interrupteurs Edisio de chaque côté du lit. Cependant, s’il y a de la musique, un simple appui sur le bouton « micro » de la télécommande va interrompre momentanément le son et vous permettre de passer vos ordres simplement.
Skills
Intéressons-nous maintenant aux Skills. Qu’est-ce qu’une Skill ? Il s’agit d’un addon, un peu comme les applications pour nos smartphones qui ont pour objectif de rajouter de nouvelles capacités à Alexa. Aujourd’hui, tout comme les premiers AppStore, il y a peu de Skills, et celles présentes sont plus des gadgets (un peu comme le coussin péteur sur l’iPhone) que de vraies fonctionnalités. Cependant, quelques Skills ont une vraie valeur ajoutée :
BART Status/L Train : permettent d’avoir des informations sur les bulletins de services en temps réel ainsi que l’heure de passage du prochain train. On imagine bien pouvoir demander à Alexa l’heure du prochain tram/métro à l’arrêt le plus proche de chez nous afin de savoir si on doit prendre notre temps ou courir !
Uber : tout simplement pouvoir commander un Uber directement à la voix
The Bartender : avoir les recettes de plus de 12000 cocktails référencés
HuffPost : avoir les grands titres du connu Huffington Post
QuickEvent : rajouter un événement à votre calendrier Google Calendar
Scout Alarm/HomeSeer/Vivint/AnyMote/LIFX… : sont des Skills qui vont vous permettre de prendre le contrôle de chez vous par la voix TRES simplement !
Et…Favorite Website ! Que j’ai développé pour m’amuser et tester !
Il s’agit d’une Skill (dans le même genre que le coussin péteur 🙂 ) qui permet de demander à Alexa quel est son site favori. Elle vous demandera d’abord le vôtre, puis après avoir enregistré votre réponse, vous pourrez lui reposer la question et la surprise ! Elle aura les mêmes goûts que vous !
J’ai créé cette Skill en un peu moins de 2h grâce à un tuto plutôt bien fait : http://blog.anythings.co/alexa-skills-kit-tutorial/. Ce que je souhaitais mettre en avant, c’est la facilité (je ne suis pas un dev !) avec laquelle on peut créer une nouvelle fonctionnalité, donc adapter Alexa à ses besoins de tous les jours. Amazon a mis en place un fond de 100 millions de dollars permettant de financer des projets basés sur sa plateforme. Mais c’est surtout afin de motiver les développeurs, constructeurs ou encore startups à créer et à remplir le « Skills Store » (pour l’instant, tout est gratuit) avec des addons de qualité le plus rapidement possible.
Device Links
Bon, on a fait un tour des caractéristiques, elles sont incroyables tant bien en reconnaissance vocale, qu’en temps de réponse et en qualité sonore, mais la question que tout le monde se pose : est-ce qu’on tient là un début de Jarvis ? Et la réponse est…dans la suite !
L’Amazon Echo est livré en se disant compatible nativement avec Philips Hue, Insteon, Wink, Ecobee et SmartThings (je reviendrais plus tard sur SmartThings). Commençons par mes Philips Hue, en allant dans les settings de l’application puis SmartHome, on peut cliquer sur Philips Hue dans la catégorie « Device Links ». Il suffit de suivre les indications (suivant/appuyer sur le bouton du pont…) pour qu’en moins d’une minute nous ayons accès à toute la famille Hue présente chez soi. Ainsi, « Alexa, turn ON « puis le nom de votre ampoule » » fonctionne immédiatement ! On peut même faire varier la luminosité, mais par contre, impossible de changer la couleur… embêtant. Mais contrôler une ampoule une par une quand on en a déjà 4 dans le salon, c’est pas très smart. Du coup l’application propose de faire des groupes et les nommer, ainsi « Alexa, turn ON The Place » allume les 4 ampoules Philips Hue présentent dans mon salon, amazing !
Je suis donc maintenant capable, sans toucher une télécommande, un smartphone ou tout autre interrupteur de pouvoir allumer la lumière, la tamiser et lancer la musique ! Wahou ! Mais voilà, je ne suis pas équipé que de Philips Hue, mais de nombreux autres modules en Z-Wave, en IR, en Wi-Fi… et l’Amazon Echo n’est malheureusement pas compatible avec eux…
IFTTT
MAIS, l’Amazon Echo a son channel IFTTT et devinez quoi ? Ma box domotique Jeedom peut elle aussi être « trigger » via IFTTT et le channel Maker ! (mais mon petit doigt me dit qu’à sa sortie, un plugin sera de la partie mais chuuuut !)
Je m’attelle donc à créer une « recipe » avec comme « trigger » un mot ou une phrase ex : « sleep mode » qui déclenche l’envoi d’une requête via le channel Maker à ma box domotique qui elle va déclencher un scénario (ouf !).
Voici comment faire :
Une fois activé (temps de mise en oeuvre : 3min), le coeur serré je lance « Alexa, trigger sleep mode », et après m’avoir dit « sending that to IFTTT », je vois mes volets se fermer, toutes mes lumières s’éteindre, mes appareils multimédias se mettre en veille, le tout, instantanément. Je reste ébahi, je reprends conscience, ça vient de se produire, sans même un accrochage, une erreur ou un temps de latence, je peux maintenant simplement exécuter n’importe quel scénario présent sur ma box à partir d’un ordre vocal, oui, oui, avec un temps de mise en oeuvre qui n’a pas excédé 3min, c’est du quasi plug & play !
TTS
Qui n’a jamais rêvé de faire du Text-to-Speech simplement via ses Sonos sans avoir à avoir un serveur qui tourne 24/24h à côté juste pour être sur d’avoir ses notifications ? Moi, déjà 🙂
Pour information, aux US, via la box SmartThings et une SmartApp, c’était possible ! (https://blog.smartthings.com/how-to/how-to-trigger-a-lightsaber-noise-with-smartthings-sonos/ regarder la vidéo à 0″56 ici : https://youtu.be/H01spGq9sgM) Mais à priori il y a eu des problèmes et ils sont en train de refaire cette fameuse SmartApp pour re-bénéficier de cette fonctionnalité prochainement. Sweet !
Mais qu’en est-il concernant notre Echo ? Celle-ci est aujourd’hui capable de faire du Text-to-Speech mais uniquement pour lire des ebooks : https://www.actualitte.com/article/lecture-numerique/text-to-speech-alexa-la-voix-d-echo-peut-lire-les-ebooks-kindle/62897
On sait donc que la fonctionnalité existe et que la balle est dans le camp d’Amazon ! Cependant, pour les impatients, il existe un moyen de faire du TTS via Alexa : en utilisant l’appairage Bluetooth et la diffusion d’un contenu audio. Aujourd’hui, vous pouvez donc soit utiliser un vieux smartphone connecté en permanence en BT à votre Echo avec par exemple Tasker installé et ainsi vocaliser vos textes (pas très optimisé).
Ou, pour les plus bidouilleurs d’entre vous et si vous avez une Jeedom vous pouvez par le biais du Plugin Google TTS (dont vous trouverez les informations ici) et l’installation d’une clé Bluetooth, transmettre vos textes à vocaliser directement à partir de vos scénarios !
Conclusion
Pour résumer, nous avons la un produit de qualité, à un prix de 199$, pouvant répondre à des questions simples et complexes (Météo, Calendrier, Wikipédia, Wolfgram Alpha…), pouvant être amélioré grâce à des addons (base grandissante de jour en jour), pouvant nous permettre d’écouter de la musique (services de musique en ligne ex : Spotify), de la taille d’une Sonos Play 1 (d’ailleurs, pourquoi pas les remplacer à terme dans chaque pièce et bénéficier d’Alexa partout !), mais surtout pouvant être relié via IFTTT, soit à une infinité de channels, dont le Maker afin de déclencher ses scénarios ULTRA SIMPLEMENT (WAF acceptance). Pour moi, il s’agit ici d’une avancée technologique majeure qui ne nécessite pas d’éléments complémentaires : micro, pc, code (je pense bien entendu à l’excellentissime SARAH de JP Encausse), mais également ne pas avoir un device comme son smartphone toujours à porté de main ou encore une tablette accrochée au mur ayant un micro de piètre qualité. Il s’agit ici de l’avenir de la maison connectée et communicante ! Que demander de plus ??? Ah oui, qu’elle fonctionne en français…
[youtube=https://www.youtube.com/watch?v=hKCgyRDL1XY&w=580]
Si cette présentation de l’Amazon Echo vous a donné envie d’en avoir un chez vous, faîtes le savoir à Amazon ! Pour leur montrer qu’on veut ce super produit rapidement en France, nous avons lancé le hashtag #BringEchoToFrance sur Twitter. Vous pouvez aussi tenter d’en gagner un en participant au concours de notre partenaire Stuffi.
PS : si vous avez lu tout l’article, vous avez du voir passer à un moment « je reviendrais plus tard sur SmartThings », et bien plus tard, c’est bientôt, car si vous pensez que l’Amazon Echo était le seul composant participant à l’évolution de la maison connectée et de la domotique, attendez de lire mon test de la solution SmartThings 😉